Due to difficult circumstances in Iraq, the community-based inventorying training and the nominations training are combined into one workshop in Amman Jordan. The structure and formulation of the workshop can be improvised by facilitators to adhere to the needs of the participants in such crisis situations. However, we should be clear that the content of the material in these training workshops remain the same in that they represent safeguarding ICH in a manner that is in line with the 2003 Convention. The approach of implementation of the workshop is a new attempt at providing UNESCO services in an unusual situation of conflict.
UNESCO
Atelier d’urgence sur les candidatures pour l’Irak
26 - 28 December 2015
Amman, Jordan (Iraq)
UNESCO
Séances d'information Programme de renforcement des capacités
Après sept mois de travail sur le terrain dans les communautés de Boa Morte et San Antonio, la Direction nationale de la culture de Sao Tomé-et-Principe procède à l’évaluation des résultats de l’exercice d’inventaire qui a démarré cette année en avril. Du 23 au 27 novembre, près de 25 acteurs impliqués dans le recueil d’informations vont se rencontrer afin de dégager les enseignements et de constituer un plan d’action pour les efforts à fournir à l’avenir dans le domaine de la sauvegarde du patrimoine dans l’archipel. Afin d’assurer la continuité de l’atelier d’avril, les experts-facilitateurs de l’UNESCO donneront des conseils en dressant un bilan des résultats et en développant une stratégie nationale. Dans ce même esprit de continuité, un responsable culturel de Cabo Verde sera présent à Sao Tomé afin de partager l’expérience acquise lors du processus avec ses collègues à Cabo Verde qui développent leur propre inventaire avec la participation des communautés.
Après sept mois de travail sur le terrain dans les communautés de Boa Morte et San Antonio, la Direction nationale de la culture de Sao Tomé-et-Principe procède à l’évaluation des résultats de l’exercice d’inventaire qui a démarré cette année en avril. Du 23 au 27 novembre, près de 25 acteurs impliqués dans le recueil d’informations vont se rencontrer afin de dégager les enseignements et de constituer un plan d’action pour les efforts à fournir à l’avenir dans le domaine de la sauvegarde du patrimoine dans l’archipel. Afin d’assurer la continuité de l’atelier d’avril, les experts-facilitateurs de l’UNESCO donneront des conseils en dressant un bilan des résultats et en développant une stratégie nationale. Dans ce même esprit de continuité, un responsable culturel de Cabo Verde sera présent à Sao Tomé afin de partager l’expérience acquise lors du processus avec ses collègues à Cabo Verde qui développent leur propre inventaire avec la participation des communautés.
23 - 27 November 2015
Sao Tomé (Sao Tomé-et-Principe)
UNESCO
Formation à l'utilisation des mécanismes de la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel
16 - 20 November 2015
Apia (Samoa)
L’Institut national du patrimoine culturel d’Angola et l’UNESCO ont organisé un atelier sur la mise en œuvre de la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel à l’échelle nationale. Il aura lieu du 9 au 13 novembre 2015 à Luanda et concernera la portée et les objectifs de cet instrument juridique international ainsi que les obligations qu’il implique pour les États parties.
Cet atelier s’inscrit dans la stratégie globale de l’UNESCO visant à renforcer les capacités nationales des pays lusophones d’Afrique (PALOP) afin de sauvegarder leur héritage vivant. Il rassemblera une vingtaine de participants angolais, parmi lesquels se trouveront des acteurs locaux aussi bien que nationaux. Dans le but de renforcer la coopération régionale entre le pays PALOP, la formation sera entièrement facilitée par deux experts mozambicains qui ont suivi le même programme.
Cet atelier est rendu possible grâce à la généreuse contribution du gouvernement de Norvège au Fonds du patrimoine culturel immatériel.
L’Institut national du patrimoine culturel d’Angola et l’UNESCO ont organisé un atelier sur la mise en œuvre de la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel à l’échelle nationale. Il aura lieu du 9 au 13 novembre 2015 à Luanda et concernera la portée et les objectifs de cet instrument juridique international ainsi que les obligations qu’il implique pour les États parties.
Cet atelier s’inscrit dans la stratégie globale de l’UNESCO visant à renforcer les capacités nationales des pays lusophones d’Afrique (PALOP) afin de sauvegarder leur héritage vivant. Il rassemblera une vingtaine de participants angolais, parmi lesquels se trouveront des acteurs locaux aussi bien que nationaux. Dans le but de renforcer la coopération régionale entre le pays PALOP, la formation sera entièrement facilitée par deux experts mozambicains qui ont suivi le même programme.
Cet atelier est rendu possible grâce à la généreuse contribution du gouvernement de Norvège au Fonds du patrimoine culturel immatériel.
9 - 13 November 2015
Luanda (Angola)
Cet atelier ne faisait pas partie du plan de travail de la phase II du projet du Fonds en dépôt japonais. En 2013, au cours de la phase, un atelier sur les inventaires avec la participation des communautés avait déjà eu lieu en RDP Lao grâce au financement du Fonds en dépôt japonais. Toutefois, l’équipe du département du Patrimoine a exprimé le besoin d’organiser une formation de recyclage avant de commencer l’inventaire pilote sur le terrain destiné à ce projet. Des fonds extérieurs ont été alloués à cet atelier. Il s’est tenu dans la ville de Luang Prabang, située dans la province où l’inventaire pilote devait avoir lieu ; des membres des communautés et du Département provincial ainsi que 5 praticiens y ont pris part. Les participants ont eu l’occasion d’approfondir leurs connaissances des techniques d’inventaires avec la participation des communautés et de participer aux activités de terrain mentionnées ci – dessous. Ils étaient répartis en 4 équipes pour un stage pratique destiné à documenter le théâtre de marionnettes « epok » au village de Xieng Thong, le chant « khap » au village de Phone Phaeng ainsi que l’orfèvrerie et les textiles artisanaux du village du Pha Nom. Deux des équipes étaient dirigées par des praticiens qui avaient participé à l’atelier.
Cet atelier ne faisait pas partie du plan de travail de la phase II du projet du Fonds en dépôt japonais. En 2013, au cours de la phase, un atelier sur les inventaires avec la participation des communautés avait déjà eu lieu en RDP Lao grâce au financement du Fonds en dépôt japonais. Toutefois, l’équipe du département du Patrimoine a exprimé le besoin d’organiser une formation de recyclage avant de commencer l’inventaire pilote sur le terrain destiné à ce projet. Des fonds extérieurs ont été alloués à cet atelier. Il s’est tenu dans la ville de Luang Prabang, située dans la province où l’inventaire pilote devait avoir lieu ; des membres des communautés et du Département provincial ainsi que 5 praticiens y ont pris part. Les participants ont eu l’occasion d’approfondir leurs connaissances des techniques d’inventaires avec la participation des communautés et de participer aux activités de terrain mentionnées ci – dessous. Ils étaient répartis en 4 équipes pour un stage pratique destiné à documenter le théâtre de marionnettes « epok » au village de Xieng Thong, le chant « khap » au village de Phone Phaeng ainsi que l’orfèvrerie et les textiles artisanaux du village du Pha Nom. Deux des équipes étaient dirigées par des praticiens qui avaient participé à l’atelier.
Les efforts en matière de sauvegarde du patrimoine culturel immatériel (PCI) gagnent en importance dans l’ensemble de la région Asie-Pacifique conduisant à un besoin de plus de professionnels hautement qualifiés dans la région. Les universités ont un rôle important à jouer en ce sens. C’est pourquoi, l’UNESCO organise un symposium régional qui se tiendra du 2 au 3 novembre à Bangkok dans le but de promouvoir l’intégration du PCI dans l’enseignement supérieur au niveau du troisième cycle dans l’Asie-Pacifique. Cet évènement bénéficie de l’aide financière provenant du Fonds pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel.
Lors de ces dix dernières années, il y a eu augmentation du nombre de programmes d’éducation de troisième cycle sur le patrimoine dans son ensemble, mais peu d’entre eux sont centrés spécifiquement sur le patrimoine culturel immatériel. Les professionnels du secteur du patrimoine culturel ont une formation axée sur la gestion du patrimoine matériel (conservation des monuments et sites archéologiques par exemple).
Le symposium organisé par l’UNESCO vise à encourager les universités de l’Asie-Pacifique à développer des programmes de troisième cycle dans le domaine du patrimoine culturel immatériel.
22 cadres, professeurs et chargés d’enseignement de 20 universités participeront à ce symposium de deux jours. Ils prendront part aux discussions et partageront leurs connaissances et ressources sur le sujet. Les établissements sont situés dans 13 pays de la région : l’Australie, la Chine, le Kazakhstan, l’Inde, l’Indonésie, l’Iran, le Japon, la Nouvelle-Zélande, le Pakistan, les Philippines, la République de Corée, le Sri Lanka et la Thaïlande.
Les discussions comprendront l’identification des principes clés de la sauvegarde du PCI pour les études de troisième cycle, l’exploration de disciplines et de structures pour des programmes sur le PCI et l’intégration de la sauvegarde du PCI dans le développement d’études du PCI pour le troisième cycle.
Le symposium contribuera aussi à approfondir la base de connaissances des participants en matière de méthodologie et de ressources pertinentes pour le PCI. Il devrait aussi permettre l’établissement d’un réseau entre les universités de même qu’avec l’UNESCO en vue de futures collaborations sur le thème des programmes d’éducation sur le PCI pour le troisième cycle.
Les efforts en matière de sauvegarde du patrimoine culturel immatériel (PCI) gagnent en importance dans l’ensemble de la région Asie-Pacifique conduisant à un besoin de plus de professionnels hautement qualifiés dans la région. Les universités ont un rôle important à jouer en ce sens. C’est pourquoi, l’UNESCO organise un symposium régional qui se tiendra du 2 au 3 novembre à Bangkok dans le but de promouvoir l’intégration du PCI dans l’enseignement supérieur au niveau du troisième cycle dans l’Asie-Pacifique. Cet évènement bénéficie de l’aide financière provenant du Fonds pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel.
Lors de ces dix dernières années, il y a eu augmentation du nombre de programmes d’éducation de troisième cycle sur le patrimoine dans son ensemble, mais peu d’entre eux sont centrés spécifiquement sur le patrimoine culturel immatériel. Les professionnels du secteur du patrimoine culturel ont une formation axée sur la gestion du patrimoine matériel (conservation des monuments et sites archéologiques par exemple).
Le symposium organisé par l’UNESCO vise à encourager les universités de l’Asie-Pacifique à développer des programmes de troisième cycle dans le domaine du patrimoine culturel immatériel.
22 cadres, professeurs et chargés d’enseignement de 20 universités participeront à ce symposium de deux jours. Ils prendront part aux discussions et partageront leurs connaissances et ressources sur le sujet. Les établissements sont situés dans 13 pays de la région : l’Australie, la Chine, le Kazakhstan, l’Inde, l’Indonésie, l’Iran, le Japon, la Nouvelle-Zélande, le Pakistan, les Philippines, la République de Corée, le Sri Lanka et la Thaïlande.
Les discussions comprendront l’identification des principes clés de la sauvegarde du PCI pour les études de troisième cycle, l’exploration de disciplines et de structures pour des programmes sur le PCI et l’intégration de la sauvegarde du PCI dans le développement d’études du PCI pour le troisième cycle.
Le symposium contribuera aussi à approfondir la base de connaissances des participants en matière de méthodologie et de ressources pertinentes pour le PCI. Il devrait aussi permettre l’établissement d’un réseau entre les universités de même qu’avec l’UNESCO en vue de futures collaborations sur le thème des programmes d’éducation sur le PCI pour le troisième cycle.
L’atelier sur l’élaboration des dossiers de candidature en vue de l’inscription sur les listes de la Convention de 2003 (la Liste représentative et la liste de sauvegarde urgente) et la préparation des demandes d’assistances internationales se tient dans le cadre de la mise en œuvre des activités du projet « Sauvegarde du patrimoine culturel immatériel à travers le renforcement des capacités nationales au Maghreb » suite à la tenue des ateliers sur la mise en œuvre de la Convention et sur les inventaires participatifs.
Cet atelier organisé dans la ville de Nabeul du 02 au 06 novembre 2015 a pour objectif de développer et renforcer les capacités des représentants de fonctionnaires de différents ministères, d’acteurs de la société civiles, de membres de communautés et autres spécialistes du patrimoine culturel immatériel en matière d’élaboration des requêtes d’inscription des éléments du PCI sur les Listes de la Convention et la préparation des demandes d’assistance internationale. La réalisation et le suivi de cet atelier permettra à la Tunisie de disposer de cadres ayant une pleine connaissance des mécanismes de la Convention ce qui contribuera à la mise en œuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO ratifiée par la Tunisie qui pourra ainsi élaborer des dossiers de qualité.
L’atelier sur l’élaboration des dossiers de candidature en vue de l’inscription sur les listes de la Convention de 2003 (la Liste représentative et la liste de sauvegarde urgente) et la préparation des demandes d’assistances internationales se tient dans le cadre de la mise en œuvre des activités du projet « Sauvegarde du patrimoine culturel immatériel à travers le renforcement des capacités nationales au Maghreb » suite à la tenue des ateliers sur la mise en œuvre de la Convention et sur les inventaires participatifs.
Cet atelier organisé dans la ville de Nabeul du 02 au 06 novembre 2015 a pour objectif de développer et renforcer les capacités des représentants de fonctionnaires de différents ministères, d’acteurs de la société civiles, de membres de communautés et autres spécialistes du patrimoine culturel immatériel en matière d’élaboration des requêtes d’inscription des éléments du PCI sur les Listes de la Convention et la préparation des demandes d’assistance internationale. La réalisation et le suivi de cet atelier permettra à la Tunisie de disposer de cadres ayant une pleine connaissance des mécanismes de la Convention ce qui contribuera à la mise en œuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO ratifiée par la Tunisie qui pourra ainsi élaborer des dossiers de qualité.
2 - 6 November 2015
Hammamet, Nabeul (Tunisie)
Le premier d’une série de trois ateliers de formation sur le renforcement des capacités se tiendra cette semaine, du 25 au 29 octobre 2015, au Centre du patrimoine Hamdan bin Mohammed aux Émirats arabes unis à Dubaï.
Le premier atelier de formation sur le renforcement des capacités aura pour objet principal les concepts clés de la Convention de 2003 et leur mise en œuvre par le biais de l’inventaire avec la participation des communautés, de mesures de sauvegarde et de stratégies de développement de politiques. Cet atelier sera aussi une bonne occasion de livrer aux participants des illustrations de bonnes pratiques en matière de sauvegarde du PCI et d’autres projets au sein du monde arabe.
Cet atelier, qui réunira 25 membres du personnel du Centre de même que de nombreux acteurs travaillant dans le domaine du patrimoine culturel. Mené par l’UNESCO et deux de ses experts facilitateurs, cet atelier est un exemple de formation demandée et financée par une institution ayant pour volonté de renforcer ses capacités afin d’intégrer au mieux les dispositions de la Convention à ses activités.
Le premier d’une série de trois ateliers de formation sur le renforcement des capacités se tiendra cette semaine, du 25 au 29 octobre 2015, au Centre du patrimoine Hamdan bin Mohammed aux Émirats arabes unis à Dubaï.
Le premier atelier de formation sur le renforcement des capacités aura pour objet principal les concepts clés de la Convention de 2003 et leur mise en œuvre par le biais de l’inventaire avec la participation des communautés, de mesures de sauvegarde et de stratégies de développement de politiques. Cet atelier sera aussi une bonne occasion de livrer aux participants des illustrations de bonnes pratiques en matière de sauvegarde du PCI et d’autres projets au sein du monde arabe.
Cet atelier, qui réunira 25 membres du personnel du Centre de même que de nombreux acteurs travaillant dans le domaine du patrimoine culturel. Mené par l’UNESCO et deux de ses experts facilitateurs, cet atelier est un exemple de formation demandée et financée par une institution ayant pour volonté de renforcer ses capacités afin d’intégrer au mieux les dispositions de la Convention à ses activités.
25 - 29 October 2015
Dubai (Émirats arabes unis)
UNESCO
Atelier de formation sur l'élaboration d'inventaires avec la participation des communautés à Monaco
22 October 2015
Monaco (Monaco)
UNESCO
Atelier de formation sur l'élaboration d'inventaires avec la participation des communautés en Norvège
19 - 23 October 2015
Trondheim (Norvège)
Une deuxième série d’ateliers sur la transmission des connaissances et des pratiques Kallawaya de guérisseurs expérimentés aux jeunes apprentis a eu lieu du 17 au 22 octobre 2015 à Curva, l’un des berceaux de guérisseurs Kallawaya, dans la province de Bautista Saavedra.
Les sujets abordés allaient des pratiques d’accouchement et les maladies des femmes et des enfants à la prévention et la guérison de maladies respiratoires, de maladies digestives et de maladies de personnes âgées. Plus de 30 participants Kallawaya ont pu améliorer leur connaissances sur les inventaires avec la participation des communautés et ont reçu une formation sur les techniques audiovisuelles de collecte de l’information.
A la suite des ateliers, les participants ont partagé les résultats du projet avec d’autres communautés de la province qui ont assisté à la session finale. Ce dernier atelier a souligné l’importance non seulement des connaissances et des pratiques Kallawaya mais du patrimoine culturel immatériel en général pour trouver des réponses aux défis rencontrés dans la construction de la paix et le développement durable.
Ces ateliers mettent fin aux activités menées dans le cadre du projet «La sauvegarde du patrimoine culturel immatériel des communautés Kallawaya» qui a été possible grâce aux efforts des autorités Kallawaya, du Ministère des cultures et du tourisme, de l’Université catholique bolivienne “San Pablo” et du l’UNESCO ainsi qu’au soutien généreux et continu du gouvernement du Japon.
Une deuxième série d’ateliers sur la transmission des connaissances et des pratiques Kallawaya de guérisseurs expérimentés aux jeunes apprentis a eu lieu du 17 au 22 octobre 2015 à Curva, l’un des berceaux de guérisseurs Kallawaya, dans la province de Bautista Saavedra.
Les sujets abordés allaient des pratiques d’accouchement et les maladies des femmes et des enfants à la prévention et la guérison de maladies respiratoires, de maladies digestives et de maladies de personnes âgées. Plus de 30 participants Kallawaya ont pu améliorer leur connaissances sur les inventaires avec la participation des communautés et ont reçu une formation sur les techniques audiovisuelles de collecte de l’information.
A la suite des ateliers, les participants ont partagé les résultats du projet avec d’autres communautés de la province qui ont assisté à la session finale. Ce dernier atelier a souligné l’importance non seulement des connaissances et des pratiques Kallawaya mais du patrimoine culturel immatériel en général pour trouver des réponses aux défis rencontrés dans la construction de la paix et le développement durable.
Ces ateliers mettent fin aux activités menées dans le cadre du projet «La sauvegarde du patrimoine culturel immatériel des communautés Kallawaya» qui a été possible grâce aux efforts des autorités Kallawaya, du Ministère des cultures et du tourisme, de l’Université catholique bolivienne “San Pablo” et du l’UNESCO ainsi qu’au soutien généreux et continu du gouvernement du Japon.
La Mongolie était très enthousiasmée par l’idée d’entreprendre cet atelier qui comprenait des visites aux communautés locales pour étudier les éléments du PCI et s’entraîner à préparer des dossiers de candidature. Deux groupes ont rendu visite aux praticiens du camp et les ont interviewés tandis que trois autres groupes ont rendu visite aux praticiens du PCI dans leur communauté.
Les cinq groupes ont étudié :
1. L’art traditionnel de la sculpture de l’acier – technique de double sculpture de Suriya ;
2. La culture autour du cheval : technique traditionnelle pour préparer l’aïrag à Khokhuur et les coutumes liées ;
3. Les connaissances chamaniques traditionnelles et les pratiques liées à la nature et à l’univers ;
4. Technique traditionnelle de broderie ;
5. La culture autour du cheval : connaissances et techniques traditionnelles pour fabriquer les accessoires pour chevaux comme les brides, les licous, les entraves et les couteaux de chaleur.
La Mongolie était très enthousiasmée par l’idée d’entreprendre cet atelier qui comprenait des visites aux communautés locales pour étudier les éléments du PCI et s’entraîner à préparer des dossiers de candidature. Deux groupes ont rendu visite aux praticiens du camp et les ont interviewés tandis que trois autres groupes ont rendu visite aux praticiens du PCI dans leur communauté.
Les cinq groupes ont étudié :
1. L’art traditionnel de la sculpture de l’acier – technique de double sculpture de Suriya ;
2. La culture autour du cheval : technique traditionnelle pour préparer l’aïrag à Khokhuur et les coutumes liées ;
3. Les connaissances chamaniques traditionnelles et les pratiques liées à la nature et à l’univers ;
4. Technique traditionnelle de broderie ;
5. La culture autour du cheval : connaissances et techniques traditionnelles pour fabriquer les accessoires pour chevaux comme les brides, les licous, les entraves et les couteaux de chaleur.
5 - 9 October 2015
Oulan-Bator (Mongolie)
Curaçao focused its field exercise on the elements of kachu, the harvest festival and playing the benta. Ten participants (5 females and5 males) were selected from different NGOs and were trained by a local anthropologist and the director of the focal institution for the implementation of the Convention (who also participated in all training workshops). The training utilized the UNESCO training materials for Field Inventory, which were translated into Papiamento). Participants were able to undertake secondary documentation on the elements as primary documentation was not possible due to the seasonal nature of kachu use and because no performances were planned during this period where the benta would have been played. Arrangements were made for primary documentation during the harvest season, so the team could document the use of kachu during harvest (seú) as well as during the elaborate harvest parade. Documentation consisted of interviews and demonstrations. Playing the benta was shown along with the interview. Instructions on how it was made were given during the beginning of the two‐day training by a benta maker and player. The kachu session also included more elaborate demonstrations of construction of this instrument.
Curaçao focused its field exercise on the elements of kachu, the harvest festival and playing the benta. Ten participants (5 females and5 males) were selected from different NGOs and were trained by a local anthropologist and the director of the focal institution for the implementation of the Convention (who also participated in all training workshops). The training utilized the UNESCO training materials for Field Inventory, which were translated into Papiamento). Participants were able to undertake secondary documentation on the elements as primary documentation was not possible due to the seasonal nature of kachu use and because no performances were planned during this period where the benta would have been played. Arrangements were made for primary documentation during the harvest season, so the team could document the use of kachu during harvest (seú) as well as during the elaborate harvest parade. Documentation consisted of interviews and demonstrations. Playing the benta was shown along with the interview. Instructions on how it was made were given during the beginning of the two‐day training by a benta maker and player. The kachu session also included more elaborate demonstrations of construction of this instrument.